Le Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir depuis sa création en 1968) ne peut tolérer la contradiction et l’indiscipline, surtout quand elles proviennent de ses rangs. C’est le sens à donner à la pluie de sanctions prises ce samedi contre les 25 parlementaires du parti pouvoir qui ont osé avoir une voix dissidente à la position du parti sur la dépénalisation de l’homosexualité qui continue de défrayer la chronique. La commission de discipline du PDG a rendu public ce samedi, les sanctions obtenues (…)
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Politique
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Source : African Media Agency (AMA)
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