Le certificat de type permet à l’armée de Terre de former et entrainer les opérateurs du Système de Mini-Drones de Reconnaissance (SMDR) et de mettre en œuvre en le système en opérations extérieures (OPEX), sans autorisation de vol spécifique et de manière pérenne.
Les liens industriels entre les entreprises de la Base Industrielle et Technologique de Défense (BITD) et Thales ont permis à ce système de mini-drones de bénéficier d’un design français qui participe à la souveraineté de la France.
Le système de mini-drones Spy’Ranger 330 offre aux forces armées les technologies d’imagerie les plus innovantes disponibles sur le marché.
Spy’Ranger 330 @Thales
PARIS, France, Le 20 Avril 2022 -/African Media Agency(AMA)/-Le Spy’Ranger 330 qui équipe l’armée de Terre française au titre du programme SMDR (Système de Mini-Drones de Reconnaissance) a obtenu son premier certificat de type, délivré par l’autorité technique de navigabilité de la Direction générale de l’armement (DGA), gage d’efficacité éprouvée au combat. Cette certification garantit la navigabilité du SMDR et permet à l’armée de Terre d’utiliser ses systèmes de mini-drones, en formation, en entrainement et en opération, sans autorisation de vol spécifique.
Le Spy’Ranger 330 a été conçu, développé, industrialisé et produit pour le programme SMDR, sous maitrise d’ouvrage de la DGA, par la filière française des systèmes de drones légers de contact. Avec des performances trois fois supérieures à celle de son prédécesseur, le DRAC, le SMDR est une capacité structurante pour l’armée de Terre.
Les systèmes de mini-drones Spy’Ranger 330 et mini-drones tactiques Spy’Ranger 550 font partie de la famille de drone Spy’Ranger et partagent de nombreuses briques communes. La famille Spy’Ranger répond aux besoins des unités de contact et de renseignement, engagées sur des théâtres d’opérations extérieures. Ces unités disposent ainsi d’une capacité d’appui au contact et de renseignement d’origine image combinant plusieurs éléments au sein d’un même système : un drone endurant et robuste, résistant aux environnements exigeants, une chaine image contribuant à la supériorité tactique, une liaison de données sécurisée et enfin, un système de contrôle/commande (C2) simple à opérer.
Capable de remplir des missions de près de trois heures avec un rayon d’action de 30km, le système SMDR répond à ce besoin et offre aux forces armées des innovations technologiques majeures. La charge utile optronique haute-définition multi senseurs (EO et IR) gyrostabilisée Spy’Ball, le traitement performant de l’image issu des pods d’avions de combat tel que le TALIOS qui équipe le Rafale, le système de liaison de données haut débit et sécurisé micro-TMA, le système C2 Spy’C éprouvé au combat, mais aussi, le drone à propulsion électrique Spy’Ranger 330, un véhicule aérien robuste et léger grâce à son architecture et sa structure composite/carbone.
Le programme SMDR démontre que le développement d’un système de mini-drones pour remplir des missions militaires est un défi de taille compte-tenu des exigences extrêmes qui s’y rapportent, notamment en termes de survivabilité telles que cyber-attaques ou menaces électromagnétiques, et de résistance aux contraintes environnementales comme la pluie, le sable ou la poussière.
En tant que maitre d’œuvre, les équipes de Thales apportent leur savoir-faire et leur rigueur pour établir et maintenir dans la durée un haut-niveau de sécurité et de navigabilité. Le SMDR offre à la France l’accès à une nouvelle dimension dans la maîtrise souveraine des vols non habités. Depuis décembre 2020, le SMDR est engagé au Mali au sein de l’opération Barkhane par l’armée de Terre qui en est pleinement satisfaite. Utilisés de jour comme de nuit, ces systèmes de drone contribuent quotidiennement aux succès des opérations, à la sécurité des soldats et à la protection des forces, plaçant ainsi Thales comme un acteur clef de la filière mini-drone française.
« Thales et l’écosystème mini-drone sont des partenaires de confiance, aux côtés des forces et de la DGA, pour soutenir aujourd’hui l’engagement des armées avec le Système de MiniDrones de Reconnaissance. Pour relever les défis de demain issus de l’engagement des forces dans des contextes de retour des conflits de haute intensité, Thales s’appuie sur la puissance d’innovation de la filière technologique et industrielle issue du SMDR et sur des partenariats clefs pour que la France dispose des technologies essentielles. » Benoit Plantier, Vice président des activités optronique et électronique de missile, Thales.
À propos de Thales
Thales (Euronext Paris: HO) est un leader mondial des hautes technologies qui investit dans les innovations du numérique et de la « deep tech » – connectivité, big data, intelligence artificielle, cybersécurité et quantique – pour construire un avenir de confiance, essentiel au développement de nos sociétés. Le Groupe propose des solutions, services et produits qui aident ses clients – entreprises, organisations, Etats – dans les domaines de la défense, de l’aéronautique, de l’espace, du transport et de l’identité et sécurité numériques, à remplir leurs missions critiques en plaçant l’humain au cœur des décisions.
Thales compte 81 000 collaborateurs dans 68 pays. En 2021, le Groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 16,2 milliards d’euros.
Contact Presse
Thales, Relations médias Aéronautique de défense
OMS – La Guinée équatoriale confirme huit nouveaux cas de Marburg (archives)
New York, USA, le 24 Mars, 2023/African Media Agency(AMA)/La Guinée équatoriale a confirmé huit nouveaux cas de Marburg, portant à neuf le nombre de cas confirmés depuis que l’épidémie de fièvre hémorragique virale a été déclarée le 13 février dernier dans ce pays d’Afrique centrale.
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les nouveaux cas ont été confirmés à la suite de l’analyse en laboratoire d’échantillons supplémentaires. Les nouveaux cas ont été signalés dans les provinces de Kie Ntem, à l’est, de Littoral, à l’ouest du pays, et de Centro Sur, qui ont toutes des frontières internationales avec le Cameroun et le Gabon.
Les zones où des cas ont été signalés sont distantes d’environ 150 kilomètres les unes des autres, ce qui laisse supposer une transmission plus large du virus. À ce jour, on dénombre 20 cas probables et 20 décès.
« La confirmation de ces nouveaux cas est un signal essentiel pour intensifier les efforts de riposte afin d’arrêter rapidement la chaîne de transmission et d’éviter une épidémie à grande échelle et des pertes en vies humaines », a déclaré dans un communiqué, la Dre Matshidiso Moeti, Directrice régionale de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour l’Afrique. « La maladie de Marburg est très virulente, mais elle peut être contrôlée et arrêtée efficacement en déployant rapidement un large éventail de mesures d’intervention en cas d’épidémie ».
Des experts supplémentaires de l’OMS déployés dans les prochains jours
L’OMS collabore avec les autorités nationales pour renforcer les mesures d’intervention d’urgence en améliorant la surveillance de la maladie, le dépistage, les soins cliniques, la prévention et le contrôle des infections, ainsi qu’en menant des enquêtes épidémiologiques supplémentaires et en renforçant la sensibilisation du public pour aider à freiner la propagation de l’infection.
Des experts supplémentaires de l’OMS en épidémiologie, logistique, opérations sanitaires et en prévention et contrôle des infections seront déployés dans les prochains jours. L’agence onusienne aide également les autorités sanitaires des pays voisins, le Cameroun et le Gabon, à renforcer la préparation et la riposte à l’épidémie.
A noter qu’il n’existe pas de vaccins ou de traitements antiviraux approuvés pour traiter le virus. Toutefois, les soins de soutien – réhydratation par voie orale ou intraveineuse – et le traitement des symptômes spécifiques améliorent les chances de survie.
La maladie de Marburg est transmise aux humains par des chauve-souris frugivores et se propage parmi les humains par contact direct avec des fluides corporels de personnes infectées, des surfaces et des objets contaminés. La maladie est très virulente et provoque une fièvre hémorragique dont le taux de mortalité peut atteindre 88%. Le virus appartient à la même famille que celui responsable de la maladie à virus Ebola.
DUBAI, United Arab Emirates, 24 March 2023 -/African Media Agency(AMA)/- Bybit, the world’s third most visited crypto exchange, is proud to list the Arbitrum (ARB) token — along with a massive prize pool of $400K to celebrate. Today, users will be able to deposit ARB and trade newly created ARB spot pairs, perpetual contracts, and trading bot pairs.
Arbitrum is the biggest player in Ethereum’s layer 2 scaling landscape, designed to boost Ethereum’s speed and scalability while adding additional privacy features. The release of ARB (which includes “airdropping” 12.75% of the entire supply to the chain’s early users) is one of the most highly-anticipated events in the cryptocurrency industry this year.
To celebrate this occasion, Bybit has launched a series of campaigns that offers ARB traders a chance to win part of its massive $400K prize pool.
Firstly, all users who deposit 250 ARB will receive a gift of 25 USDT, and new users who have used the Arbitrum-native trading platform GMX, can claim a further 0.5 GMX with a deposit of 500 ARB. Also, Bybit’s official Twitter account will be giving away GMX and USDT in a lucky draw to 400 users who like or retweet its tweets, or follow the official Twitter account.
Bybit offers a range of trading bots, which allow users to automate strategies, backtest them, and trade the markets 24/7. Their bots are easy to configure, so even beginners can benefit from automated trading.
As part of the ARB celebration, users who trade ARB via Bybit’s spot grid bots will share in a $20K prize pool. Another launchpool campaign for ARB subscribers will unlock a total of $150K in rewards. Finally, a high APY ARB fixed-term product is available via Bybit Earn, allowing traders to earn even more rewards from their investments.
“At Bybit, we recognize our responsibility to provide forward-thinking opportunities for our users and lead the way in supporting the proliferation of cryptocurrency and blockchain technology,” said Ben Zhou co-founder and CEO of Bybit. “I am delighted to see that we are offering an ARB token listing, which promises unique rewards for those who make use of it. We are eager to see how our users leverage this powerful new asset and await their feedback with enthusiasm.”
Bybit is a cryptocurrency exchange established in March 2018 that offers a professional platform where crypto traders can find an ultra-fast matching engine, excellent customer service and multilingual community support. Bybit is a proud partner of Formula One racing team, Oracle Red Bull Racing, esports teams NAVI, Astralis, Alliance, Virtus.pro, Made in Brazil (MIBR), City Esports, and Oracle Red Bull Racing Esports, and association football (soccer) teams Borussia Dortmund and Avispa Fukuoka.
Photo: OCHA/Yaye N. Sene – Dans la préfecture de Haute Kotto, en République centrafricaine, des personnes déplacées par les violences (photo d’archives).
New York, USA, le 22 Mars, 2023/African Media Agency(AMA)/La Mission des Nations Unies en République centrafricaine (MINUSCA) a annoncé mardi avoir procédé à l’arrestation samedi 18 mars du commandant régional d’un groupe armé, le « Général » Hussein Damboucha.
L’arrestation qui a eu lieu à Sam Ouandja (320 km au nord de Bria), dans la préfecture de la Hautte-Kotto, a été menée conjointement par les Forces de sécurité intérieure centrafricaines et la Force et la Police de la MINUSCA, a précisé la mission onusienne dans un communiqué de presse.
La MINUSCA rappelle que le nom du « Général » Hussein Damboucha, commandant régional du Front populaire pour la renaissance de la Centrafrique (FPRC) et membre de la Coalition des Patriotes pour le Changement, apparaît dans les rapports du Groupe d’experts sur la République centrafricaine comme auteur des violations et atteintes aux droits de l’homme et au droit international humanitaire.
MINUSCA/Hervé Serefio – Des Casques bleus patrouillent dans une ville du nord-est de la République centrafricaine.
Garde à vue
Le détenu est actuellement en garde à vue auprès des institutions centrafricaines habilitées, après son transfèrement de Sam Ouandja à Bangui, avec l’appui de la MINUSCA.
La résolution 2659 du Conseil de sécurité des Nations Unies, qui reconduit le mandat de la mission jusqu’au 15 novembre 2023, demande à la MINUSCA de concourir à renforcer l’indépendance de la justice et à renforcer les capacités et l’efficacité de l’appareil judiciaire ainsi que l’efficacité et la responsabilité du système pénitentiaire, notamment en fournissant une assistance technique aux autorités centrafricaines pour l’identification des responsables de crimes constituant des violations du droit international humanitaire, des violations des droits de l’homme et des atteintes à ces droits commis sur l’ensemble du territoire de la République centrafricaine.
« La MINUSCA continuera à apporter son appui aux institutions judiciaires centrafricaines dans la lutte contre l’impunité, condition indispensable à la consolidation de la paix et la réconciliation nationale », a déclaré la mission.
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