La candidate du Kenya au poste le plus élevé de
l’Organisation mondiale du commerce (OMC) a déclaré le 30 juillet 2020 à
Reuters qu’elle cherchait le soutien de Washington.
Amina
Mohamed Jibril est une femme politique kenyane. Elle a été ministre des affaires étrangères du Kenya de
2013 à 2018. Depuis janvier 2018, elle est ministre de l’éducation nationale.
Amina
Mohamed s’est lancé dans la course à la présidence de l’OMC face à sept autres
candidats. Elle a a déclaré à Reuters qu’une session de vérification à huis
clos en juillet s’était «très bien passée»
en exposant sa plate-forme pour sortir l’organisation des crises des tensions
commerciales mondiales et du protectionnisme croissant vers une plongée dans
les affaires induite par COVID.
Amina Mohamed et la Nigériane Ngozi Okonjo-Iweala font partie des favoris pour remplacer le Brésilien Roberto Azevedo au poste de directeur général. En effet, L’OMC n’a jamais été dirigée par une femme ou un Africain. «Le règlement doit être mis à jour en raison des préoccupations exprimées quant au fait que les règles ne sont pas adaptées à leur objectif», a-t-elle déclaré, ajoutant que la reprise de la cour d’appel la plus élevée serait une priorité et qu’elle espérait que ce serait à l’ordre du jour de la prochaine grande réunion de l’OMC en 2021.
Au
cours de la semaine dernière, des pays ont organisé des cocktails à Genève pour
présenter des candidats. L’OMC les élimine par lots, en commençant par ceux qui
ne gagneront probablement pas le consensus de 164 membres.
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