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La Covid-19 en Sierra Leone ou les leçons d’Ebola

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Face à la pandémie de coronavirus, des pays africains comme la Sierra Leone ont su tirer des leçons de la lutte contre Ebola pour se préparer à faire face à la pandémie mondiale. Lorsque le premier cas de Covid-19 a frappé Freetown le 30 mars dernier, le Dr Marta Lado savait ce qu’il devait faire. 

NEW YORK, USA, le 04 Novembre 2020,-/African Media Agency (AMA)/-Cette médecin espagnole de l’ONG « Partners in Health » (Les Amis de la santé) en Sierra Leone avait déjà eu affaire à une maladie dangereuse qui se propageait rapidement : la maladie à virus Ebola.

« Sans aucun doute en Sierra Leone, Ebola a été une grande leçon sur la manière de gérer les maladies infectieuses ainsi que d’autres comme la tuberculose, le VIH en termes de recherche des contacts, de surveillance, ainsi que de prévention et contrôle des infections, mais aussi d’utilisation des équipements de protection individuelle (EPI) », a-t-elle déclaré lundi lors de la conférence de presse virtuelle de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur la Covid-19.

Et à écouter cette responsable clinique principale de l’Unité des soins intensifs pour la Covid-19 à l’Hôpital militaire n°34 de Freetown, il est possible de tenter d’enrayer la propagation du coronavirus, avec peu de moyens, mais il faut une stratégie bien rôdée.

« Nous essayons de faire de notre mieux avec peu, mais nous finissons par atteindre et obtenir beaucoup, de bons résultats. Et c’est ce qui s’est passé dans le pays », a-t-elle fait valoir.Banque mondiale/Dominic ChavezLa ville de Freetown au Sierra Leone

Un système multifactoriel lié au jeune âge, au climat, et probablement une immunité croisée

Selon un décompte établi ce mardi, la Sierra Leone comptabilise 2.366 cas dont 74 décès, soit « un nombre de cas assez faible », plus de six mois après le premier cas recensé le 30 mars dernier. « Comparé à d’autres contextes et d’autres pays, c’est un nombre de cas assez faible », a insisté Marta Lado.

Cela signifie aussi que Freetown et ses partenaires ont pu développer des systèmes.

« Ce n’est pas vraiment lié à un faible niveau de dépistage ou au fait que nous ne pouvons pas reconnaître les infections que nous avons dans la communauté », a-t-elle relevé, pour répondre à ceux et celles qui essayent de minimiser les données sur le coronavirus en Afrique, avec des chiffres, qui ne permettent pas de vraiment connaître l’ampleur de la pandémie en Afrique.

Elle ajoute qu’il existe « probablement un système multifactoriel lié au jeune âge, au climat, et probablement une immunité croisée avec d’autres coronavirus ».

Or de tels résultats sont loin d’être évidents malgré l’expérience acquise durant l’épidémie d’Ebola. Décrivant l’état des lieux, la responsable clinique principale de l’Unité des soins intensifs pour la Covid-19 à l’Hôpital militaire n°34 de Freetown a indiqué : « Nous n’avons pas de spécialiste dans les unités de soins intensifs (USI) pour pouvoir faire de la ventilation de masse, du moins de la ventilation mécanique ».

Un seul médecin « intensiviste » pour une population de sept millions d’habitants

Mais ses équipes et les autorités sanitaires nationales ont, à la place, développé « un système D » pour contourner ces insuffisances, avec l’utilisation d’une thérapie de pression positive continue (TPPC) et d’oxygène à haut débit. Elles ont pu aussi former une nouvelle génération de travailleurs de la santé à la gestion des cas physiques, à la bonne surveillance et aux soins de proximité des patients dans les unités à forte dépendance.

De plus, quand le coronavirus s’est déclaré en Asie et en Europe, la Sierra Leone n’avait qu’une seule unité de soins intensifs dans le pays, avec un seul médecin « intensiviste » pour une population de sept millions d’habitants. L’idée de base a été « de surveiller les patients, les symptômes vitaux, de pouvoir contrôler les patients qui arrivent en état de choc, les différents types de choc mais aussi la ventilation et l’oxygène ».

Or seuls deux hôpitaux dans le pays ont des conduites d’oxygène. La plupart de l’oxygène administré dans un hôpital régional ou de district se fait par des concentrateurs d’oxygène. « Et parfois, si vous avez de la chance et que vous avez une usine d’oxygène, des bidons que nous pouvons remplir », a détaillé cette médecin de « Partners in Health ».

L’autre leçon apprise a été la transformation d’un centre de traitement jadis destiné à Ebola en un espace de 30 lits pour les soins intensifs de Covid-19. L’unité a été équipée de concentrateurs d’oxygène et d’une centaine de bouteilles d’oxygène remplis dans des usines locales à oxygène. « Mais nous mettons également de la thérapie de pression positive continu (TPPC) à nos patients, qui arrivent avec une insuffisance respiratoire et une détresse respiratoire plus graves », a-t-elle ajouté. <a href=http://bit.ly/1mWzZB9>Aurelie Marrier d’Unienville/IRIN </a>Des équipes chargées au Sierra Leone d’enterrer des victimes d’Ebola procèdaient à des enterrements de précaution.

Cinq laboratoires moléculaires fonctionnels sur le pied de guerre 

Partie en décembre 2013 de Guinée forestière, une épidémie d’Ebola, la pire depuis l’identification du virus en Afrique centrale en 1976, s’était propagée au Libéria et à la Sierra Leone limitrophes – ces trois pays concentrant plus de 99% des victimes – faisant officiellement plus de 11.300 morts pour quelque 28.000 cas recensés (dont plus de 14.000 en Sierra Leone).

Ainsi, lorsque cette pandémie de Covid-19 a débuté en Chine et s’est déplacée vers l’Europe, Freetown a pu commencer à mettre en pratique certaines des leçons apprises lors de l’épidémie d’Ebola. Et Freetown est d’ailleurs l’un des rares pays africains classé parmi les pays à faible revenu à disposer de cinq laboratoires moléculaires fonctionnels. 

Ce qui signifie que la Sierra Leone a pu effectuer des tests PCR, en temps réel, dans la plupart des différentes régions du pays comme le nord, le sud, l’est et l’ouest. Deux d’entre eux étaient situés principalement dans la capitale Freetown où la plupart des cas de Covid-19 se sont produits.

L’autre volet du dispositif anti-coronavirus en Sierra Leone a porté la prévention et le contrôle des infections (PCI). Pour cette praticienne espagnole, Freetown était « plus qu’experte » dans des domaines, comme la façon de porter, enfiler ou enlever un équipement de protection individuelle (EPI). 

Des mesures de quarantaine utilisées lors d’Ebola et la guerre civile de 1991-2002

Les autres secteurs où l’expertise a fait la différence a porté sur la mise en place de centres de traitement, sur la façon de faire des unités d’isolement, sur la façon de s’assurer que la plupart du personnel soignant puisse être protégés lorsqu’il travaille afin de réduire les infections nosocomiales. 

« Ce sont donc des choses que nous avons apprises grâce à Ebola et nous étions conscients qu’Ebola n’était pas la Covid-19, mais le virus est certainement sur un terrain sur lequel nous avons pu commencer à travailler de manière plus facile et probablement plus rapide que dans de nombreux autres pays que nous avons vus », a-t-elle exposé.Banque mondiale/Vincent TremeauDes agents de santé revêtent leur équipement de protection individuelle avant d’entrer dans la zone où les personnes potentiellement atteintes du virus Ebola sont placées en quarantaine pour être suivies et traitées (janvier 2019).

Et les Sierraléonais ont également montré beaucoup de créativité face à la Covid-19, en organisant localement des mesures de quarantaine – utilisées lors d’Ebola et lors de la guerre civile de 1991-2002 – avec les moyens du bord, en privilégiant les centres locaux de soin et de dépistage.

« Nous avions déjà mis au point un très bon système de recherche des contacts pendant le virus Ebola, qui permet, lorsqu’un patient est atteint, de suivre tous les membres de sa famille et tous ses contacts proches », a souligné la docteure.

La Sierra Leone dispose à présent d’un système approprié de suivi, avec une ligne d’assistance téléphonique gratuite (117) où les gens peuvent appeler lorsqu’ils se sentent malades. Les populations utilisent aussi cette ligne quand elles veulent se faire tester ou simplement signaler tout type d’infection dans leur environnement.

« Cela a également fait une grande différence dans la manière dont nous avons pu assurer la recherche et la surveillance des contacts dans la plupart de notre population », a dévoilé la Dr Lado.

De la confiance avec ces résultats, mais aussi le risque de complaisance

Dans une région connue pour la porosité de ses frontières terrestres et l’importance de ses échanges transfrontaliers, la surveillance et les dépistages des maladies sont essentiels pour détecter et orienter les voyageurs potentiellement malades vers des structures sanitaires adéquates et limiter la propagation de la maladie.

C’est pourquoi, l’autre volet de la riposte a porté sur le confinement et la fermeture de l’aéroport, qui ont « certainement fait une grande différence et cela a empêché de nombreux nouveaux cas d’entrer dans le pays ».

Ainsi, grâce à la fermeture de l’aéroport et aux mesures de verrouillage entre les différents districts, les autorités sanitaires sierra léonaise ont pu contrôler la circulation des personnes. Cela a permis d’identifier les cas dans la capitale et de les suivre de près par rapport à d’autres régions où ils ne sont pas habitués à mettre en place ces mesures. 

Des mesures fort utiles alors qu’une deuxième vague frappe déjà certains pays européens. « Ces derniers jours, nous n’avons signalé aucun cas dans le pays, ce qui ne devrait pas nous donner autant de confiance ou de complaisance car nous savons que parfois les vagues arrivent un peu plus tard », a pourtant mis en garde la responsable clinique principale de l’Unité de soins intensifs pour la Covid-19 à l’Hôpital militaire n°34 de Freetown.

Mais « nous avons constaté qu’avec de l’oxygène, des stéroïdes et une bonne surveillance, ainsi qu’une bonne unité de soins intensifs avec une surveillance étroite des patients, nous sommes capables de faire en sorte que la plupart de nos patients survivent », a-t-elle conclu.

Distribué par African Media Agency (AMA) pour ONU Info.

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La Guinée équatoriale confirme huit nouveaux cas de Marburg

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OMS – La Guinée équatoriale confirme huit nouveaux cas de Marburg (archives)

New York, USA, le 24 Mars, 2023/African Media Agency(AMA)/La Guinée équatoriale a confirmé huit nouveaux cas de Marburg, portant à neuf le nombre de cas confirmés depuis que l’épidémie de fièvre hémorragique virale a été déclarée le 13 février dernier dans ce pays d’Afrique centrale.

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les nouveaux cas ont été confirmés à la suite de l’analyse en laboratoire d’échantillons supplémentaires. Les nouveaux cas ont été signalés dans les provinces de Kie Ntem, à l’est, de Littoral, à l’ouest du pays, et de Centro Sur, qui ont toutes des frontières internationales avec le Cameroun et le Gabon.

Les zones où des cas ont été signalés sont distantes d’environ 150 kilomètres les unes des autres, ce qui laisse supposer une transmission plus large du virus. À ce jour, on dénombre 20 cas probables et 20 décès.

« La confirmation de ces nouveaux cas est un signal essentiel pour intensifier les efforts de riposte afin d’arrêter rapidement la chaîne de transmission et d’éviter une épidémie à grande échelle et des pertes en vies humaines », a déclaré dans un communiqué, la Dre Matshidiso Moeti, Directrice régionale de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour l’Afrique. « La maladie de Marburg est très virulente, mais elle peut être contrôlée et arrêtée efficacement en déployant rapidement un large éventail de mesures d’intervention en cas d’épidémie ».

Des experts supplémentaires de l’OMS déployés dans les prochains jours

L’OMS collabore avec les autorités nationales pour renforcer les mesures d’intervention d’urgence en améliorant la surveillance de la maladie, le dépistage, les soins cliniques, la prévention et le contrôle des infections, ainsi qu’en menant des enquêtes épidémiologiques supplémentaires et en renforçant la sensibilisation du public pour aider à freiner la propagation de l’infection.

Des experts supplémentaires de l’OMS en épidémiologie, logistique, opérations sanitaires et en prévention et contrôle des infections seront déployés dans les prochains jours. L’agence onusienne aide également les autorités sanitaires des pays voisins, le Cameroun et le Gabon, à renforcer la préparation et la riposte à l’épidémie.

A noter qu’il n’existe pas de vaccins ou de traitements antiviraux approuvés pour traiter le virus. Toutefois, les soins de soutien – réhydratation par voie orale ou intraveineuse – et le traitement des symptômes spécifiques améliorent les chances de survie.

La maladie de Marburg est transmise aux humains par des chauve-souris frugivores et se propage parmi les humains par contact direct avec des fluides corporels de personnes infectées, des surfaces et des objets contaminés. La maladie est très virulente et provoque une fièvre hémorragique dont le taux de mortalité peut atteindre 88%. Le virus appartient à la même famille que celui responsable de la maladie à virus Ebola.

Distribué par  African Media Agency pour Onu Info

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Bybit Goes Live With ARB Token and a $400K Prize Pool

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DUBAI, United Arab Emirates, 24 March 2023 -/African Media Agency(AMA)/- Bybit, the world’s third most visited crypto exchange, is proud to list the Arbitrum (ARB) token — along with a massive prize pool of $400K to celebrate. Today, users will be able to deposit ARB and trade newly created ARB spot pairs, perpetual contracts, and trading bot pairs.  

Arbitrum is the biggest player in Ethereum’s layer 2 scaling landscape, designed to boost Ethereum’s speed and scalability while adding additional privacy features. The release of ARB (which includes “airdropping” 12.75% of the entire supply to the chain’s early users) is one of the most highly-anticipated events in the cryptocurrency industry this year. 

To celebrate this occasion, Bybit has launched a series of campaigns that offers ARB traders a chance to win part of its massive $400K prize pool. 

Firstly, all users who deposit 250 ARB will receive a gift of 25 USDT, and new users who have used the Arbitrum-native trading platform GMX, can claim a further 0.5 GMX with a deposit of 500 ARB. Also, Bybit’s official Twitter account will be giving away GMX and USDT in a lucky draw to 400 users who like or retweet its tweets, or follow the official Twitter account.

Bybit offers a range of trading bots, which allow users to automate strategies, backtest them, and trade the markets 24/7. Their bots are easy to configure, so even beginners can benefit from automated trading. 

As part of the ARB celebration, users who trade ARB via Bybit’s spot grid bots will share in a $20K prize pool. Another launchpool campaign for ARB subscribers will unlock a total of $150K in rewards. Finally, a high APY ARB fixed-term product is available via Bybit Earn, allowing traders to earn even more rewards from their investments. 

“At Bybit, we recognize our responsibility to provide forward-thinking opportunities for our users and lead the way in supporting the proliferation of cryptocurrency and blockchain technology,” said Ben Zhou co-founder and CEO of Bybit. “I am delighted to see that we are offering an ARB token listing, which promises unique rewards for those who make use of it. We are eager to see how our users leverage this powerful new asset and await their feedback with enthusiasm.”

Further Information and Resources

Distributed by African Media Agency (AMA) on behalf of Bybit.

About Bybit

Bybit is a cryptocurrency exchange established in March 2018 that offers a professional platform where crypto traders can find an ultra-fast matching engine, excellent customer service and multilingual community support. Bybit is a proud partner of Formula One racing team, Oracle Red Bull Racing, esports teams NAVI, Astralis, Alliance, Virtus.pro, Made in Brazil (MIBR), City Esports, and Oracle Red Bull Racing Esports, and association football (soccer) teams Borussia Dortmund and Avispa Fukuoka.

For more information please visit: https://www.bybit.com

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RCA : la MINUSCA arrête le chef régional d’un groupe armé accusé de violations des droits humains

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Photo: OCHA/Yaye N. Sene – Dans la préfecture de Haute Kotto, en République centrafricaine, des personnes déplacées par les violences (photo d’archives).

New York, USA, le 22 Mars, 2023/African Media Agency(AMA)/La Mission des Nations Unies en République centrafricaine (MINUSCA) a annoncé mardi avoir procédé à l’arrestation samedi 18 mars du commandant régional d’un groupe armé, le « Général » Hussein Damboucha.

L’arrestation qui a eu lieu à Sam Ouandja (320 km au nord de Bria), dans la préfecture de la Hautte-Kotto, a été menée conjointement par les Forces de sécurité intérieure centrafricaines et la Force et la Police de la MINUSCA, a précisé la mission onusienne dans un communiqué de presse.

La MINUSCA rappelle que le nom du « Général » Hussein Damboucha, commandant régional du Front populaire pour la renaissance de la Centrafrique (FPRC) et membre de la Coalition des Patriotes pour le Changement, apparaît dans les rapports du Groupe d’experts sur la République centrafricaine comme auteur des violations et atteintes aux droits de l’homme et au droit international humanitaire.

MINUSCA/Hervé Serefio – Des Casques bleus patrouillent dans une ville du nord-est de la République centrafricaine.

Garde à vue

Le détenu est actuellement en garde à vue auprès des institutions centrafricaines habilitées, après son transfèrement de Sam Ouandja à Bangui, avec l’appui de la MINUSCA.

La résolution 2659 du Conseil de sécurité des Nations Unies, qui reconduit le mandat de la mission jusqu’au 15 novembre 2023, demande à la MINUSCA de concourir à renforcer l’indépendance de la justice et à renforcer les capacités et l’efficacité de l’appareil judiciaire ainsi que l’efficacité et la responsabilité du système pénitentiaire, notamment en fournissant une assistance technique aux autorités centrafricaines pour l’identification des responsables de crimes constituant des violations du droit international humanitaire, des violations des droits de l’homme et des atteintes à ces droits commis sur l’ensemble du territoire de la République centrafricaine.

« La MINUSCA continuera à apporter son appui aux institutions judiciaires centrafricaines dans la lutte contre l’impunité, condition indispensable à la consolidation de la paix et la réconciliation nationale », a déclaré la mission.

Distribué par  African Media Agency pour Onu Info

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